christian louis
christian louis
des œuvres
Dimanche 20 juin 2010, à 11h, des membres d’Amnesty International ainsi qu’une trentaine d’invités ont marqué les 20ème anniversaire de la mise en œuvre de la sculpture monumentale de Montégut-Plantaurel, en Ariège. Des plaques de prisonniers libérés avaient été enlevées. Malheureusement, de nouvelles furent visées sur les murs par les invités.
Line Pédoussat, formidable animatrice des actions menées autours de cette œuvre, dans son discours, rappela le combat d’Amnesty International et de son groupe, ainsi que les nouveaux enjeux qui se dessinent avec l’emprisonnement d’enfants d’adultes en rétention.
Jean-Louis Vignaux, pour la Municipalité de Montégut-Plantaurel montra l’actualité et l’urgence de ce combat et l’implication de sa commune dans cette dynamique de lutte pour une autre humanité, plus fraternelle, plus égalitaire.
Pour ma part, j’ai retracé l’historique de la genèse de l’œuvre, ainsi que son fonctionnement, et les enjeux artistiques que j’ai voulu incarner dans le granit, le marbre, le béton blanc, les formes géométriques orientées. J’ai tenté, comme le dira une membre d’Amnesty International, de «faire parler les pierres.»
Clichés: Catherine Frédou-Louis
Archétype Agora
Une sculpture interactive pour
Amnesty International
voir le fonctionnement de l’œuvre
PUBLIÉ LE 17/12/2008 04:37 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Montégut-Plantaurel. Célébration au monument d'« Amnesty »
Montégut-Plantaurel. Célébration au monument d'« Amnesty » DDM
Ils étaient une petite troupe, représentants locaux d'associations, humanistes, internationalistes et militants des droits de l'homme, ce mercredi 10 décembre, réunie dans l'enceinte du monument Archétype Agora. Après avoir accroché les petites plaques sur les colonnes du monument, ils ont écouté Line Pedoussat, représentante du groupe « Amnesty » Ariège, expliquer la symbolique de l'acte et celle du monument créé par le sculpteur Christian Louis et érigé en 1990 sur la commune, lieu adapté et choisi pour son histoire liée à la résistance. « Les 64 plaques fixées ce jour-là identifient par leur prénom et leur pays d'origine 64 prisonniers d'opinions. 26 pays sont concernés et sur cet inventaire malheureusement non exhaustif, 11 plaques identifient des femmes, dont 2 jeunes femmes mineures ». Christian Morisse, représentant de la ligue, a ensuite fait le constat pessimiste de la situation internationale en ce qui concerne les droits de l'homme et le non-respect du droit d'asile et de l'attitude régressive de nos gouvernements dans ce domaine. Annick Vigneau, de l'Association du musée des enfants du château de la Hille, a rappelé la volonté de son association d'entretenir le devoir de mémoire tout en restant en lien avec les actions d'aujourd'hui
PUBLIÉ LE 13/11/2008 12:19 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Pamiers. Le monument se refait une beauté
Actualisation des plaques avant l'anniversaire du 10 décembre.
Le monument d'«Amnesty International». Photo DDM. Le monument d'«Amnesty International». Photo DDM.
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Le monument d'« Amnesty International » toujours d'actualité. Sur le monument d'« Amnesty International », de Montégut-Plantaurel, érigé en 1990, sont fixées 64 plaques portant le nom de 64 prisonniers d'opinion du monde entier. « Aujourd'hui, le monument est dépourvu de plaques. Plus de noms sur le monument », a relevé Line Pédoussat, bénévolen qui s'investit sans cesse pour « Amnesty International » et les bonnes causes. En fait, pour préparer le tout prochain soixantième anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'homme proclamée par les Nations-Unies le 10 décembre 1948, « Amnesty International » Ariège a enlevé toutes les plaques afin de permettre au monument de se refaire une beauté.
« Des plaques actualisées seront replacées pour cet anniversaire car il y a encore de nombreux prisonniers d'opinion dans le monde et la défense des droits humains doit continuer et ne doit jamais s'arrêter », a conclu Line Pédoussat, qui, en compagnie des nombreux bénévoles d'« Amnesty International », poursuit son action sur le terrain de la liberté.
PUBLIÉ LE 19/09/2005 10:52 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Elles se consacrent à Amnesty
PAMIERS (09) - Talent de vie. Line et Hélène font partie de l'association internationale de défense des droits de l'homme.
Hélène Roux et Line Pédoussat représentent certainement ce qu'est la quintessence du bénévolat : donner sans attendre et parfois sans seulement apercevoir le résultat. Être membre d'Amnesty International demande une forte dose d'humilité et d'abnégation. Implantée dans plus de 140 pays, l'association œuvre pour la protection des droits de l'être humain. A Pamiers, les douze membres actifs (sur 60 en tout) veillent scrupuleusement à la préservation des droits fondamentaux des individus et sur la mémoire collective des entorses qui lui sont faites.
L'impartialité d'Amnesty est garantie par divers engagements comme le refus de subventions par les pouvoirs publics, la défense de tous et surtout, les enquêteurs ne travaillent jamais sur leur pays d'origine.
Un des derniers volets de ces actions, émergeant ces dernières années, est l'aide amenée aux étrangers en situation irrégulière, en synergie avec de nombreuses autres associations et les divers organismes sociaux. « Travail difficile et parfois ingrat, reconnaît Line Pédoussat qui s'implique depuis 22 ans. Mais qui reste toujours passionnant». Ecole du plus pur altruisme, chargée de gommer les injustices, Amnesty vit des seules cotisations de ses membres et des revenus des manifestations qu'elle organise. Comme le 17 septembre prochain, à Vira, à compter de 20 heures (danses, chants et soirée cabaret pour 5 euros). « Pour être juste et efficace, ensemble, parce que seul on n'est rien « concluent Hélène et Line.
Amnesty International - Groupe de Pamiers - Maison des Associations - 7 bis rue Saint-Vincent - 05 61 67 09 39 ou 05 61 67 63 84).Site : www.amnisty.asso.fr
PUBLIÉ LE 04/06/2011 03:54 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Montégut-Plantaurel. « Amnesty International » fêté au pied de l'Archétype Agora
Frederico Asditillo Suero, ancien prisonnier d'opinion chilien sauvé par « Amnesty International », est venu relater son histoire entre les colonnes de l'Archétype Agora./Photo DDM.
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« Les trois principes fondateurs de notre groupe sont : impartialité, solidarité et indépendance », rappelait Hélène Rouch en introduction de son discours et devant un parterre de militants et sympathisants venus autour de l'Archétype Agora pour célébrer ensemble le cinquantième anniversaire de la création d'« Amnesty International ».
« En 1961, l'avocat anglais Peter Benenson, en réaction à l'emprisonnement de deux étudiants portugais qui avaient osé trinquer à la liberté en pleine dictature Salazar, crée l'organisation internationale non gouvernementale qui aujourd'hui est présente dans 72 pays et compte trois millions de membres. C'est dans une éthique humaniste que l'organisation mène son combat pacifique de l'homme pour l'homme jusqu'à ce que justice soit faite », conclura Hélène Rouch laissant la parole à Christian Louis, sculpteur créateur du monument, et à Frederico Asditillo Suero, ancien prisonnier d'opinion chilien sauvé grâce à l'action de l'ONG.Le premier rappela les symboliques de son œuvre inachevée et évolutive érigée sur la commune en 1990 et remercia la municipalité pour l'entretien et le soin apportés au monument.
50 colombes
Asditillo Suero a relaté les épisodes de son histoire politique attachés pour toujours à l'action d'« Amnesty » avec le souvenir bien vivant de toutes les personnes rencontrées sur ce parcours de vie .
Après un lâcher de 50 colombes dans le ciel azur vint le temps de porter le toast à la liberté, geste hautement symbolique pour les membres et amis d'« Amnesty » réunis ce 28 mai.
PUBLIÉ LE 24/07/2010 11:34 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Montégut-Plantaurel. La journée des réfugiés
Lors de la journée mondiale des réfugiés, Christian Louis, concepteur de l'archétype Agora, œuvre monumentale commandée par le groupe « Amnesty » il y a vingt ans, est venu partager ce moment de souvenir militant : « Lorsque le groupe m'a sollicité pour ce projet, l'idée générale de la sculpture s'est imposée rapidement à mon esprit. En une nuit j'en avais tracé les grandes lignes ; aujourd'hui je ne parlerai pas de l'anniversaire d'une inauguration car pour moi cette œuvre inédite est volontairement inachevée. C'est une sculpture évolutive qui trouvera son terme quand plus un seul homme sur Terre ne sera privé de ses droits fondamentaux».Line Pédoussalt, du groupe ariégeois « Amnesty International », rappela à son tour l'évolution des actions de l'association. « Sa vocation première était de dénoncer les violations des droits de l'homme à l'étranger mais depuis quelques années, l'arrivée massive de migrants en France nous oblige à nous poser des questions sur les droits économiques et sociaux non respectés dans notre pays. »
PUBLIÉ LE 07/06/2010 03:49 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Montégut-Plantaurel. Le monument d'Amnesty a 20 ans
Les plaques symbolisant une privation de liberté vont être renouvelées.
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Il y a 20 ans, le monument Archétype Agora était inauguré sur la place de Montégut- Plantaurel. Cette sculpture évolutive créée par le sculpteur Christian Louis est dédiée aux prisonniers d'opinion politique du monde entier recensés par l'association Amnesty International. Dernièrement, des bénévoles du groupe Ariège d'Amnesty sont venus enlever des plaques nominatives et faire un peu d'entretien du site. Une intervention habituelle qui prend une dimension particulière à l'occasion de cet anniversaire et qui précède un rassemblement qui aura lieu le dimanche 20 juin, à 11 heures. Ce jour-là, Christian Louis sera présent, entouré des acteurs locaux qui ont participé à l'implantation du mémorial et toutes les personnes qui voudront partager ce moment sont invitées. Ce rassemblement sera aussi une occasion de renouveler les petites plaques vissées sur les colonnes de l'édifice, qui chacune identifie et personnalise une privation de liberté.
PUBLIÉ LE 01/12/1998 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Treize plaques en moins
Amnesty International
Le groupe Ariège d'Amnesty International a appris en ce mois de novembre la libération de treize prisonniers d'opinion dont les noms figurent sur des plaques apposées sur le monument «Archétype Agora» de Montégut-Plantaurel.
Ces plaques ont donc été enlevées. Il s'agit de celles de Pius N'Jawe du Cameroun, libéré le 9-octobre 98 par anticipation à la suite des pressions internationales ; de José Angel Carrasco Velar de Cuba ; de deux égyptiens ; d'un indonésien Pudjo Praesetio, membre du PKI condamné à perpétuité, emprisonné depuis trente ans ; d'un iranien ; de Beko Ransome-Kuti, médecin, militant des Droits humains au Nigéria, condamné à 15-ans d'emprisonnement en 1995 ; d'un cultivateur sénégalais, Mamadou Sonko en Casamance ; d'un prisonnier syrien ; de M. Aymuradov du Turkmenistan ; d'Ismail Besiksi, sociologue en Turquie et enfin de deux vietnamiens libérés en septembre dernier.
Ces plaques enlevées sont le modeste signe du combat solidaire qu'Amnesty International, prix Nobel de la paix, mène pour que les droits de l'homme soient mieux respectés dans le monde.
Malheureusement, les trous ne resteront pas vacants très longtemps. Le groupe Ariège d'Amnesty International a en effet appris de nouveaux cas d'emprisonnements arbitraires et d'autres plaques seront donc fixées sur Archétype Agora.
Cela donnera donc lieu à une cérémonie qui sera organisée le 10-décembre prochain à l'occasion du 50e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948.
PUBLIÉ LE 05/03/2002 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Les associations se mobilisent face à l'afflux
ARIEGE : Demandes d'asile
Dans le cadre d'une journée nationale d'actions, la délégation ariégeoise du collectif urgence réfugiés a manifesté entre Montégut-Plantaurel et Foix.
En réaction à la problématique que pose depuis plusieurs mois l'arrivée massive d'étrangers demandeurs d'asile dans les dispositifs d'accueil d'urgence et d'aide humanitaire du département, un groupe de réflexion s'est créé. La caravane des manifestants s'est retrouvée, en début d'après-midi, à Montégut, aux abords du monument d'Amnesty « Archétype agora » et c'est dans l'enceinte de cette sculpture hautement symbolique que Fabien, le responsble de la communauté des Emmaus de Pamiers, a lu le communiqué de presse. La démarche a pour but « d'interpeller l'opinion et les pouvoirs publics sur les incohérences de la réglementation en matière du droit d'asile et l'insuffisance des crédits débloqués pour l'hébergement et les aides d'urgence. »
« L'ACCUEIL HUMANITAIRE NE SUFFIT PAS »
Un centre d'accueil pour demandeurs d'asile (CADA) de France Terre d'asile existe bien en Ariège sur la commune du Carla-Bayle mais en raison des conditions d'admission et des délais administratifs inhérents à la complexité des procédures liées au statut de réfugié, ce centre est en permanence plein et par conséquent ne peut pas accueillir tous les demandeurs. Acteurs sociaux, militants humanistes, bénévoles d'associations, tous montent aux créneaux pour dénoncer les manques et réclamer un réel positionnement des politiques locales et nationales.
Fabien explique: « Tous les acteurs sociaux sont débordés que ce soit au CADA, au 115 (la coordination pour les sans-abris) ou encore aux « Resto » du coeur, qui furent tellement sollicités au niveau des colis d'urgence qu'ils ont dû arrêter leur distribution de repas d'hiver plus tôt que prévu. C'est dur pour tout le monde et on ne sent rien venir de la part des pouvoirs publics. En ce moment, il y a une cinquantaine de situations de demandeurs d'asile dans le dispositif d'hébergement d'urgence pour trente places disponibles, et ceci en plus des autres situations sociales habituelles que nous traitons. Les structures d'accueil manquent et l'accueil des exclus et des sans-abris ne respecte plus la dignité humaine. L'addition des différentes problématiques ne fait qu'affaiblir encore plus le dispositif. »
Mme Chapuis, responsable du Secours catholique de Pamiers: « En 2000, nous avons reçu sur Pamiers six cas de personnes en situation de demande d'asile, aujourd'hui nous en avons quarante-huit. La seule chose que nous pouvons faire c'est une assistance prolongée, sans aucune perspective d'intégration ou d'insertion puisque ces gens-là vivent dans une semi- clandestinité, sans droit réel et dans l'incertitude par rapport à la régularisation de leur situation. »
Après la proclamation de Fabien à Montégut, les manifestants ont formé un convoi de véhicules pour se rendre à Foix. Devant le monument de la Résistance, autre lieu symbolique, ils ont fait une déclaration publique et déroulé leur banderoles aux slogans sans détours. Ensuite ils ont marché sur les allées de Villote en se dirigeant vers la préfecture. Une délégation de cinq personnes a pu être reçue par le secrétaire du cabinet du préfet. Durant un entretien de vingt minutes, les représentants des associations ont pu exposer aux fonctionnaires de la préfecture leur état des lieux sur la problématique des demandes d'asile tant sur le plan local, national ou international. Ils ont pu également poser les besoins immédiats en infrastructures, dispositifs. La pertinence d'ouvrir une table ronde qui réunirait les acteurs associatifs et les représentants des pouvoirs publics tels que le conseil général (ADS) et la préfecture afin que tout le monde réfléchisse sur des politiques communes a été étudiée et devrait être rapidement programmée.
PUBLIÉ LE 24/07/2010 11:34 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Montégut-Plantaurel. La journée des réfugiés
Lors de la journée mondiale des réfugiés, Christian Louis, concepteur de l'archétype Agora, œuvre monumentale commandée par le groupe « Amnesty » il y a vingt ans, est venu partager ce moment de souvenir militant : « Lorsque le groupe m'a sollicité pour ce projet, l'idée générale de la sculpture s'est imposée rapidement à mon esprit. En une nuit j'en avais tracé les grandes lignes ; aujourd'hui je ne parlerai pas de l'anniversaire d'une inauguration car pour moi cette œuvre inédite est volontairement inachevée. C'est une sculpture évolutive qui trouvera son terme quand plus un seul homme sur Terre ne sera privé de ses droits fondamentaux».Line Pédoussalt, du groupe ariégeois « Amnesty International », rappela à son tour l'évolution des actions de l'association. « Sa vocation première était de dénoncer les violations des droits de l'homme à l'étranger mais depuis quelques années, l'arrivée massive de migrants en France nous oblige à nous poser des questions sur les droits économiques et sociaux non respectés dans notre pays. »
par Christophe RAMOS
Montégut-Plantaurel, Monument d'Amnesty Internationnal
par cojjack
MONTEGUT-PLANTAUREL
Montégut-Plantaurel est un petit village situé dans le piémont pyrénéen, à 18 km de Foix, dans la vallée de la Lèze. Il est essentiellement constitué de hameaux dispersés, sur une superficie de 1850ha.
Durant la deuxième guerre mondiale, ce petit village a connu une histoire particulière, qui lui a donné une identité de terre d’accueil. En effet, le Château de la Hille a servi de refuge à une centaine d’enfants juifs pour la plupart et quelques espagnols, de février 1941 à juin 1944. Une stèle commémorative a été érigée en septembre 2000, un musée qui relatera cette histoire est en cours de réalisation.
Le Monument ’Archétype Agora’ Le groupe départemental ’Amnesty International’ a proposé cette réalisation pour sensibiliser, faire connaître, étendre son action sur les droits de l’Homme dans le monde. Sur les faces extérieures, figure une composition de signes et de pictogrammes, évocation de diverses civilisations de l’histoire du monde. Sur les faces intérieures, des plaques sont posées, portant chacune le nom d’un prisonnier. Lorsque celui-ci est libéré, le nom est retiré. Lorsqu’un nouveau prisonnier est pris en charge par Amnesty International une plaque est ajoutée. Lorsque toutes les plaques seront retirées, la sphère pourra être reconstituée. Christian LOUIS est le créateur de cette sculpture qui se veut une œuvre évolutive, vivante, inachevée, à l’image l’Humanité. Archétype Agora vous attend : venez vous y promener, venez y méditer, venez découvrir ses énigmes, et votre plaisir à la voir, à la regarder, à la découvrir sera toujours plus grand.
Les Terroirs du Plantaurel offrent une gamme de spécialités gastronomiques fabriquées selon des recettes d’antan. Ses différents ateliers ont été initiés par un Centre d’Aide par le Travail, le dernier en date est la vigne, participant ainsi à la renaissance du vignoble ariégeois.